Tales of Gensokyô
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[Lou][Reiji]Un fantôme dans le restaurant

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Message par Invité Mar 4 Déc - 23:23

Bon, où est-ce que je suis maintenant ? Le fait de revenir dans le monde des vivants quelques années après sa mort n'est pas de tout repos. Je me sentais comme un véritable étranger partout où j'allais.

Aujourd'hui, c'est dans un village d'humains que je me suis retrouvé. J'arpentais les rues sous le regard bizarre et assez gênant des autres. C'est alors que j'arrive devant un restaurant. Je n'ai pas faim mais je pourrai peut-être tenter de boire un petit quelque chose de cette époque, notamment avec l'argent qu'on a eu la gentillesse de déposer dans mon urne funéraire... Ben quoi ? On peut plus récupérer l'offrande de notre propre tombe ?


Reiji : Bon, Je vais peut-être essayer un petit quelque chose ici.

Alors j'entre dans le restaurant. Je n'étais pas habitué à l'ambiance qui régnait à cause de la différence d'époque, mais ça reste quand même agréable. La première chose que j'ai faite, c'était de regarder un peu autour de moi, comme pour me repérer dans le restaurant.

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Message par Invité Mer 5 Déc - 22:02

Depuis mon arrivé à Gensokyo je me suis installer en plein cœur de la forêt de bambou à l'abri des regards indiscrets.
Malgré son immense labyrinthe, ce lieu au climat tempéré n'est pas si difficile à vivre finalement aux contraire c'est plutôt agréable avec le silence qui y règne ces derniers temps.
Enfin...il faut bien avouer que les Yokai sauvages tentent de me prendre pour leur casse croûte quand je fais le trajet vers le village des humains et à l'inverse en rentrant le soir.

J'ai beaux être en plein milieu de cette forêt hostile, je n'ai encore jamais croiser ne serai-ce qu'une personne avec qui parler.
Dans un certain sens c'est cool car personne risque de me gêner en permanence ou de divulguer aux autres le lieu ou je vis précisément, malheureusement cela me donne un sentiment de solitude qui rendent mes soirées longues, très longues
voir interminable si je viens à ne pas trouver le sommeil.

Comme tous les débuts de mâtinés je m'éveille relativement tôt pour profiter aux maximum d'une journée comme le dis ce dicton «La journée appartient à ceux qui se lève tôt»
Hmm... enfaîte je dis ça, mais notamment je me lève à ces heures pour aller pécher, faire les courses ou encore ranger le merdier notoire dans ma chambre.
Parce que oui, si un jour vous avez la chance d'entrer dans ma demeure en voyant tout mes graffitis sur le sol et les murs vous aurez vite fait de me prendre pour un psychopathe fou dingo sortie de l'asile.

Après avoir enfin pris conscience dans mon lit et aux passage éclater mon réveil d'un coup de poing vif comme l'éclair le faisant voler dans toute la pièce en libérant des engrenages s’éparpillent dans toute la chambre avant de le réassembler avec un sceaux alchimique
Ah, quoi de plus normal de se réveillez dans une déchetterie avec des gribouillis dessiner sur le sol avec des livres prenant la poussière.
Une fois debout en constatant avec fracas l'état du mobilier qui disons le pour de bon ressemblait à un grenier, je soupira en lâchant :

-"Nom de dieu... il faut que je me trouve une femme de ménage, je suis toujours aussi bordélique qu'a mes neuf ans décidément."

Suivant cette constatation, je finis par me baigner des un petit étant près de chez moi que j'ai réussie à alimentez en eau par des canaux de bambou depuis une cascade.
Une fois en tenue après avoir chercher mes vêtements de rechange pendant une bonne demi-heures autour de la maison en me trimbalant à poil aux risque d'avoir un joli rhume, avant de me rappeler qu'ils étaient rester sur mon lit.
Inutile de me le dire je suis assez tête en l'air le matin, c'est comme si mon intelligence était aspirer dans un trou noir.
Je finis par partir rouge de honte vers ma destination en espérant que personnes ne m'ait vu à part les pandas.

Et si je n’avais pas assez galérer comme ça, je dois maintenant faire le trajet et dans cette situation trois choix s'offrent à moi le vélo, courir pour arriver en sueurs et pour finir la marche à pied et le risque d'arriver en retard aux boulot, génial.
Bien évidemment vous comprendrez que le vélo je l'ai oublier aux village, donc le choix la plus raisonnable est la marche à pied.
Pfff... sa m'étonnerait même pas qu'on me vole mon vélo ou pire que je la retrouve un beaux matin en pièces.


Une fois sortie de la forêt remplie de feuillage et de terre sur l'intégralité de mon corps avec un air blasé une question déplaisante me vins à l’esprit, furieux je me mis à hurler à plein poumons avant de reprendre progressivement mon calme olympien.

-"Bor**l, c'est quoi tout ces vieux trous de m**des dans cette forêt."

Sérieusement j’arrêtai pas durant le trajet de tomber dans des trous sans raison, sans blague si je chope le responsable de ces pièges grossiers je vous jure qu'il terminera son existence dans mon pot-au-feu.

Suivant ces aventures pour le moins ridicules, j’arrive aux village et ouvrit immédiatement le restaurant que j'ai baptisé «Gensokyo Kitchen».
Je pris bien le temps de mettre le tableaux des annonces avec le menu du jour suivit des prix, tout en préparant les nappes et les couverts des différentes tables ovales.
Une fois tout bien mis en œuvres, je mis aussi en service le bar avec les diffèrent alcools présent sur les étagères de bois.
Peu de temps après j'affiche la plaque sur la porte d'entrer du mot «Open» avant d'aller en cuisine mettre les fourneaux en marches.
A peine rentrer dans la cuisine et avoir mis le journal de Gensokyo près du comptoir sans y faire attention ou on pouvait lire distinctement "Les tensions religieux" que j'avais acheter quelques minutes avant, la clochette de la porte retentit brièvement.
Heureux que la clientèle commence déjà à venir je jubilai en disant :

-"Déjà un client ? Bah dis donc je gagne de la renommer de jours en jours et pas qu'un peu."


Dernière édition par Lou Angelheart le Mar 8 Jan - 22:05, édité 2 fois

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Message par Invité Jeu 6 Déc - 22:17

Quand je suis entré dans le restaurant, la personne qui m'a accueilli semblait être assez content de me voir. En même temps, c'est tout à fait normal, vu l'heure à laquelle je suis venu. Quand un client arrive à peine quand vous ouvrez vos portes, c'est bon signe... du moins, c'est ce que m'avait dit une connaissance à l'époque de mon vivant.
Je regardais encore autour de moi, n'étant toujours pas habitué à cette époque.
Après cela, je vois que le thé est toujours d'actualité. Tant mieux, j'en prenais très souvent. Au passage, je voyais aussi qu'ils quelques plats qu'ils proposaient et qui m'avaient l'air pas mal. Certains me paraissaient même familier... en même temps, je suis cuisinier et ma période de larbin m'avait donné quand même beaucoup d'expérience... cependant, ce n'est pas le genre de chose dont je me vanterais.



Reiji : Bonjour. Je pense que je vais prendre du thé, s'il vous plaît.


Ensuite, j'aperçois sur le comptoir un papier avec écrit "Les tensions religieuses" en gros dessus. Je vous cache pas que j'étais tout de même étonné de lire ce qui y était écrit. Un conflit entre religions ? Ça me paraissait tellement nouveau, puisque je n'en ai pas vu à l'époque de mon vivant. Chacun croyait en ce qu'il veut et laissait les autres tranquille, alors de là à voir ça...
Je commence alors à feuilleter les pages, mais pas de chance : l'écriture avait tellement évolué avec le temps que j'avais du mal à comprendre la moitié de ce qui était marqué. Heureusement que c'était illustré... quoique j'aurais peut-être préféré ne rien voir.
Par réflexe, je n'ai pas retenu mon envie de discuter sur cette événement. La toute première question venant d'un étranger quand il lit ça est bien évidemment la suivante :


Reiji : "Les tensions religieuses" ? Qu'est-ce que c'est que cette histoire ?

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Message par Invité Ven 4 Jan - 18:33

Une fois sortie de la cuisine après mettre laver les mains, j’aperçus un jeune homme à première vue légèrement plus âgé que moi si je ne me fiais simplement à son physique.
Le moins que je puisse dire, c'est que j'étais relativement surpris de voir un homme de si tôt le matin.
C'est pas que j'ai une dent contre les femmes... non, mais disons que tu sois un homme ou une femme il faut une certaine présence aussi bien de l’un que de l'autre.
Après c'est discutable, ce n'ai rien d'autre que ma propre façon de voir les choses.

Je m’assis sur une chaise près du comptoir en attendant qu'il fasse sa demande en le dévisageant avec un léger sourire.

En voyant sa tenue visiblement très ancienne munie de son long sabre accroché à son dos.
A en voir sa forme c'est probablement une nodachi, enfin je suis pas assez connaisseur pour affirmer ce que je dis en matière de sabre japonais.
Donc fatalement ce jeune garçon est forcément un samouraï de part sa tenue traditionnelle même si celle-ci était quelque peu poussiéreuse et abîmé par le temps .
Peux être n'a t-il simplement pas assez d'argent pour se fournir de quoi le remettre en état.
Je devrais sûrement réparer ses fringues grâce à mon alchimie, après tout pourquoi pas cela me coûte rien.

Il s'approcha de moi complètement hagard en admirant la pièce durant quelques instants avant de se diriger vers moi et s’assit sur un tabouret en bois.

Bonjour. Je pense je vais prendre du thé, s'il vous plaît.

-"Bien le bonjour chère monsieur je vous serre ça de suite ! Mais quelle sorte de thé voulez vous ?"

Il ne prit même pas le temps de me répondre qu'il avait déjà pris le journal que j'ai acheté dix minutes plus tôt, il semblait tellement obnubilé par l’article de journal qu'il louchai à moitié.
Son visage se trouvais à quoi cinq centimètre des écriteaux.
Sans blague ce type aurait besoin sérieusement d'une bonne paire de lunettes, je voudrai pas être à sa place quand il atteindra la soixantaine, héhéhé.
Reste à savoir si c'est un yokai ou non, si sa serait le cas je l’expulserai sans retour à grand coup de poing dans les cotés et les gencives.
Non mais... ce resto est MON territoire, tout comme la forêt de bambou étant donner que personne y vie à part moi.

Il arrêta de lire avant de se tourner vers moi d'un air interrogateur.

«les tensions religieuses» ? Qu'est-ce que c'est que cette histoire ?


Hein ? Je le regarda tout aussi surpris que lui, tellement que trois points d'interrogations se formèrent aussi dessus de ma tête.
Je contourna alors donc le bar pour me mettre à coté de lui pour pour lire ce qui l'intriguai à ce point là.

-"Ahh... je vois, c'est cette fameuse guerre entre les trois religions aux seins de Gensokyo.
Je n'en ais entendu que des rumeurs récemment.
Faut dire que je suis à Gensokyo depuis à peine un mois.
Mais bon... personnellement je pense que c'est simplement une dispute dans une cours de récréation.
Pour moi il n’existe qu'un dieu unique en ce monde et non plusieurs, ceux qui s'appellent dieu prennent ça comme un titre pour flatté leur propre égo.
Si il suffit uniquement d'être immortelle ou très puissant pour qu'on soit considérer comme dieu... alors en ce monde il y aurait les dieux et nous les simples figurants."


Sans rire, combien de personnes qu'on appelle «dieu» vivent à gensokyo.
Dans mon cas la religion c'est le cadet de mes soucis et tout ça pourquoi ?
Prier comme un crétin dans un sanctuaire pour simplement avoir l'illusion d’être protéger par une tierce personne.
Je n'ai jamais vu de choses plus malhonnête et honteuse de toute ma vie.
J'espère que ce type ne partira pas s'engouffrer dans cette future guerre infernale.
Il pourrait perdre sa vie pour rien, à la limite tu peux mourir pour l'honneur, par amour, pour protéger sa famille ou ses amis, mais là pour une religion je trouve cette idée définitivement naze.
Enfin quitte à discuter longtemps vu qu'il ne sait rien à propos de cette guerre la conversation risque de durer un moment, autant lui demander son nom et de reprendre ma méfiance habituelle envers les inconnus.

Je soupira avant de prendre un ton légèrement menaçant :
-"Sachant que nous allons discuter longtemps à ce sujet, sans être indiscret comment vous appeler vous ? Et j'aimerai également savoir si vous êtes un Humain ou une pourriture de Yokai !"

Je pris ce ton pour le mettre en garde, je prononça ma dernière phrase histoire de le mettre en garde sur ce qu'il risquait si il était effectivement un Yokai.
j’insiste surtout sur le mot «pourriture» pour qu'il comprenne bien que je hais les Yokai, mais reste à savoir quelle type.
Vous croyez vraiment que j'aurai peur de déclencher un combat dans le village des humains ?
Eh bien vous me connaissez bien mal si vous pensez le contraire.

Je sentais la tension monté entre lui et moi, nous n'étions qu'a à peine un mètre de distance.
Je le regardai de dos avec des yeux froid et perçant, tandis qu'il était prêt à déployer sa lame avec ses yeux de faucon qui entrèrent en contact avec les miens.


Dernière édition par Lou Angelheart le Mar 8 Jan - 22:06, édité 2 fois

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Message par Invité Mar 8 Jan - 1:24

Ma foi, quel accueil. Il hais donc les Yokai ? Je pense que lui exposer mon cas le rendrait sceptique, car je suis mi-humain, mi-fantôme. Le monde a-t-il évolué dans la haine pour des raisons de plus en plus ridicules ? M'enfin, s'il comprend que la guerre des religions est idiote, c'est que sa haine contre les Youkais ne l'est certainement pas. Il a du lui arrive un truc qui lui a déclenché ça. Pour vous dire, sa provocation me faisait peu d'effet. Etant un larbin pendant toute l'époque de mon vivant, j'ai eu l'habitude d'encaisser, sauf si on me prend pour un naze. Alors je lui répond calmement.

Reiji : Qui sait ? Je suis, comment dire... moitié humain, moitié fantôme. Un homme déjà mort il y a très très longtemps, mais qui, je ne sais pas pourquoi, s'est fait envoyer ici par celui qui devait me juger. Ça doit faire combien de temps ? Peut-être 100 000 ans ? Je l'ignore, la notion du temps m'a échappé. Pour le reste, c'est à vous de juger si je suis un Humain ou un Yokai. Pour vous dire, je n'ai nullement l'intention de chercher la bagarres, surtout le jour même où je suis retourné dans le monde des vivant.

Là, je me demande vraiment si on m'a envoyé pour voir tout cela : un monde qui perd la tête. Pendant qu'il me fixait du regard de dos, moi, je restait calme fermant les yeux comme si de rien n'était. Pas besoin de me mettre en garde pour une dispute inutile.

Reiji : Personnellement, ayant déjà connu la mort, je ne fait même plus la différence entre les espèces. Pour moi, tous ont leur points positifs et négatifs sans distinction de race.

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